Plaisirs renouvellés

>> 04 septembre 2009

Suite à cette aventure avec notre belle Lina, il nous était clairement apparu que j'aimais les filles, et que ces trios étaient délicieux. C'est pourquoi nous avons donc cherchés à renouveler cette expérience, avec Lina bien-sûr, mais aussi d'autres jeunes filles. En tant qu'étudiants fêtards, ce n'était pas si compliqué. Plusieurs fois en soirées, K se chargeait de flirter avec mademoiselle, avant de lui expliquer qu'il avait une copine partageuse. Et de temps en temps, ça marchait, plus ou moins bien. Dans tous les cas, c'était terriblement excitant, et doucement même je tentais l'audace d'aller flirter moi-même avec de jolies filles.

Il y avait cependant quelques conditions pour jouer à ce jeu. Premièrement, il fallait être ensemble. Deuxièmement, il devait s'agir de soirées où aucune connaissances proches n'étaient présentes. Nous n'avions pas envie d'étaler nos pratiques devant tous nos amis, en particulier les miens. Autant dire que ce n'était donc pas tous les jours. Cependant cela marchait de temps en temps, sans compter notre belle Lina qui se prêta au jeu une fois de plus. Cette fois là d'ailleurs, nous sommes allées bien plus loin dans les coquineries, et ce fût une nouvelle épreuve de voir mon ami pénétrer une autre fille. Mais il n'y a que la première fois qui coûte ;-).

Quoi qu'il en soit, je gardais de chacune de ses gâteries un délicieux souvenir. Je n'osais partager ces expériences avec personne. A l'époque, j'écrivais donc un poème afin d'exorciser cette pulsion qui me brûlait, résumant en une seule nuit nos différentes expériences.

Souvenirs charnels

Te souviens-tu, cette nuit d'été, où nous flirtions en soirée ?
Nous dansions ensemble la salsa, et tes mains descendaient sur moi.
Je voyais dans tes yeux, que tu aimais ce jeu,
Ton sourire, tes caresses, me remplissaient d'ivresse.

Dehors alors nous sommes sorties, pour des regards nous mettre à l'abri.
Tu touchais mon sein fébrilement, et nos cuisses se frôlèrent sensuellement.
Je passais ma main sous ta jupe, et je ne pouvais être dupe,
Tout ceci te plaisait, à nous aussi tu le savais.

Une fois dans sa chambre nous étions face à face,
Un peu ivres, mais ma foi, fort peu loquasses.
Alors sa main dans le dos me poussa, et c'est ainsi que tu m'embrassas!
C'était si doux, c'était si bon, si soudain, et si long !

Cette nuit fût magique, que dis-je, électrique !

Ce soir je l'avais décidé, avec les normes de la société,
Nous ferions une trêve, je profiterai du rêve.
Embarquant dans un manège enchanté je décollais de la réalité,
Et ainsi, sous les draps je ne voyais plus que toi.

Mais le temps passait trop vite, et tu devais prendre la fuite !
En plein milieu de la nuit, tu quittais donc notre lit.
Revenant à la réalité, dans la gorge un goût salé,
Je réalisais alors que le jeu avait prit fin,
Ce souvenir, ce trésor me laissant sur ma faim.

Je repense si souvent à cette folie d'adolescent,
A tes courbes si douces et ta jolie frimousse,
Et je sais que toi aussi, tu gardes un souvenir conquis,
Mais pourtant remettre ça n'est jamais de bon aloi.

Celine, So, Lina, comme il est doux de songer à toi,
Et saches que si notre société n'était pas si bridée,
Je crierais sur les toits, que, oui, j'ai aimé ça !

Je t'aime ma belle, d'un amour charnel,
Et coucher avec toi fût vraiment une joie !

1 commentaires:

M. Chapeau 30 septembre 2009 à 08:50  

Connaître à la fois le bien-être de l'amour d'un compagnon et le jeu du flirt, partagé qui plus est ... C'est beau.

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