Le Privilège - Première visite

>> 04 février 2010

 Octobre 2009

C'est fin Octobre que nous avons testé le Privilège, un club réputé en Belgique. Nous l'avions choisi pour ses excellentes critiques de connaisseurs et sa possibilité de dormir sur place pour un prix raisonnable. La soirée en elle même ne fut pas inoubliable, mais pas si catastrophique avec du recul. Voici le récit de notre sortie et nos premières impressions sur ce club Belge.


Un peu plus loin que le Fun, mais direction le sud, trouver le Privilège n'est pas compliqué, surtout équipés d'un GPS. Le bâtiment, une belle bâtisse aux airs de château, en impose dès l'arrivée. Le grand parking à moitié couvert et l'entrée discrète sont bien pensés. L'accueil est très chaleureux et nous nous sentons rapidement à l’aise. La première impression est plutôt très favorable. Beaucoup de couples arrivent à l'ouverture et il y a la queue. Avant même de déposer nos manteaux, en attendant de s'enregistrer, nous recevons une coupe de champagne et des petits pains gourmands nous sont proposés. Il est facile alors d'échanger quelques mots avec les gens autour de nous et nous commentons la décoration. Une fois arrivés au comptoir, une hôtesse nous explique dans la langue de notre choix (l'avantage de la Belgique ;-) l'architecture du club (un plan serait presque bienvenue !), les règles, et nous propose de remplir un formulaire afin d'obtenir une carte de membre. Nous payons notre dût (le prix est tout compris) et déposons les clefs de la voiture à l'entrée afin de recevoir celles du vestiaire. Nous admirons les masques disponibles à l'entrée pour les "Webrooms", un concept de coin câlin original sur lequel nous reviendrons plus tard.

Nous descendons alors dans les entrailles du bâtiment pour se perdre dans un labyrinthe de casiers, où se trouvent aussi de grandes toilettes. Une fois nos affaires posées, nous devons garder la clef du casier, ce qui n'est pas encore un problème tant que nous sommes habillés, mais deviendra plus gênant une fois en lingerie. Le club n'a pas d'heure précise pour la lingerie, et ce n'est d'ailleurs que seulement encouragé et non imposé, passé une heure tardive dans la soirée. Lorsque nous avions appelés en début d'après midi pour nous renseigner sur le dress-code, on nous avait indiqué "Ne vous inquiétez pas, la lingerie n'est pas obligatoire, nous ne sommes pas aussi "hard" que le Fun". Cela  nous avait fait doucement rire, tout en nous inquiétant un peu sur les réelles interactions libertines qu'il pouvait y avoir dans ce club. Tout comme au Fun, la soirée commence tôt (21h) et le club ferme aux alentours de 5h du matin. Nous ne pensons finalement pas rester dormir si c'est pour se coucher si tard (probablement 6h le temps que les coins câlins soient vides). Tant pis, ce sera 2h de voiture pour rentrer, la prochaine fois, on prendra donc sûrement l'hôtel.

A peine arrivés sur la piste de danse, un homme nous aborde en nous demandant notre nationalité. Parler trois langues avec l'hôtesse l'avait plutôt surpris et nous enchaînons rapidement une conversation sur la Belgique et son "problème" national. Nous sommes agréablement surpris d'avoir un contact aussi rapide et facile, hélas, ce fût presque le seul de la soirée. Enfin cet homme, mais surtout sa femme et ses compagnons avec qui il est venu ne nous plaisent pas vraiment. Durant toute notre conversation, il ne cesse d'ajouter "Mais vous savez, on vient pour s'amuser nous, hein, juste s'amuser, pas pour le sexe", comme pour nous rassurer sur ses intentions. Je me mords les lèvres pour ne pas répondre que nous, par contre, on y vient justement pour le sexe, mais aussi pour nous amuser. Il ne devait sûrement pas s'imaginer qu'un couple de "petits jeunes" comme nous soit échangistes Peu importe, un peu assommés par son flot de parole, nous nous excusons afin de visiter le reste du club avant qu'il ne soit remplit. La piste de danse est de toute façon bien vide en ce début de soirée.

Nous visitons le boudoir au rez-de-chaussée, décoré d'une immense cheminée. Plusieurs fauteuils y trônent : une pièce bien agréable pour bavarder, certainement. En prenant l'escalier, nous arrivons à la salle cinéma derrière une large porte sur le palier où un film porno est projeté. Plus haut c'est l'entrée du restaurant qui n'est pas encore ouvert, en Belgique, on soupe tard, de nouvelles douches et l'accès aux webrooms. Ces salles, y compris la douche, sont pourvues de caméra connectées sur Internet. L’accès aux images est réservé aux membres du club ou par souscription payante, un moyen original d'augmenter les revenus du club. Le contenu est délivré en streaming avec la possibilité de revoir certaines heures d'une soirée au choix. Les coquins souhaitant s'y exhiber sont prévenus de la présence de caméra à plusieurs reprises et peuvent emprunter des masques à l'accueil. Nous avons trouvé le concept original, mais peu de personne semblent se risquer dans ces salles.

Nous continuons notre visite en prenant de nouveaux escaliers nous emmenant toujours plus haut dans cette immense bâtisse, conduisant au premier étage de coins câlins. Un vrai labyrinthe d'alcôves de différentes tailles, on peut trouver entre autre : une cabine téléphonique anglaise qui trône au milieu d'une place, un immense lit au détour d'un couloir, une salle capitonné, un "water bed", une croix de St André, un pilori, de simples cabines matelassées, ou encore une pièce en verre au croisement de plusieurs couloirs. Nous pensions avoir fait le tour quand en revenant sur nos pas, en poussant une porte, nous découvrons un petit escalier qui mène vers un deuxième étage de coins câlins. L'endroit est vraiment immense. Nous nous demandons si le Fun est aussi grand. En mètre carré, ils sont sûrement équivalents, par contre, en mètre cube, nous pensons que le Privilège est un poil plus grand. Ce deuxième étage possède moins de variété. C’est une succession de trois larges pièces ouvertes. Il y a plusieurs matelas au sol, de et une pièce noire, tellement sombre qu'on ne voit pas la marche au milieu et qu'on avance en tendant les bras en craignant un peu d'y découvrir quelqu'un. Tout au bout de cet étage, une dernière échelle permet d'accéder à une petite mezzanine où un grand matelas est installé afin de faire plus de place pour coquiner. Du papier est disponible ici et là, ainsi que de petits poubelles, mais il faut penser à prendre les préservatifs avec soi.

Nous concluons donc en redescendant que le Privilège est un club propre, beau, grand qui propose des coins câlins variés. Le service chaleureux pour ce que nous pouvons voir, mais à la décoration parfois un peu branlante et plutôt épurée mis à part au rez-de-chaussée et a l’extérieur ou l’on voit qu’un certains effort a été fait.

La visite a été longue et en revenant le restaurant est ouvert. Nous en profitons pour nous mettre dans la queue. Nous observons les couples... Il nous semble recevoir peu de regards en retour mais aussi, aucun couple ne nous plait. Nous sommes un peu déçus, la moyenne d'âge semble être plus élevée que ce dont nous sommes habitués, et les tenues de la clientèle ne sont pas forcément très soignées, un peu vulgaires même parfois. Cela dit, en règle générale il est évident que chacun a fait un effort pour plaire.

Le buffet est correct, mieux que le Fun, plus adapté aux goûts français, et propose quelques produits de qualités (saumon fumé, fromages divers, salades fraîches de fruits et de légumes), bien que la lumière vive et les plateaux repas en plastique blanc donnent plus l'impression d'une cantine (surtout qu'on fait la file). La salle de restaurant est spacieuse mais me semble plus belle en photo . Je reconnais plusieurs tableaux IKEA dans la déco... Je me fais critique et Kees me rappelle qu'on est là pour s'amuser. Un couple nous demande s'il peut s'installer à coté de nous. Nous acceptons, pas vraiment sûrs qu'ils nous plaisent, mais après avoir refusé trois personnes, il nous semble temps d'être moins difficiles. Apres tout on est juste au restaurant pour manger. Couple charmant, discussion intéressante. Ils nous expliquent qu'ils sont déçus ce soir par la population et que nous faisons office d’exception. Nous sommes embêtés. Elle est belle femme, mais je n'accroche décidément pas avec l'homme physiquement. Ces compliments sur notre physique nous mettent un peu mal à l'aise, car malgré une agréable discussion, nous savons désormais que nous n’irons pas plus loin. L'homme me taquine avec sa serviette afin essayer d'engager un contact physique. Embêtée, je ne sais pas trop comment le dire si ce n'est qu'en refusant son contact et en évitant les contacts visuels. Une fois de retour sur la piste de danse, nous nous écartons visiblement de leurs approches, attitude qu'ils comprennent rapidement heureusement.

La musique est sympa, bien qu'aucun morceau ne nous donne une envie de danser ou de nous lâcher irrépressible. Nous dansons à deux en nous déplaçant d'un bout à l'autre de la piste afin de trouver de potentiels partenaires. Hélas, notre impression générale sur la clientèle se confirme. De plus, il semble que beaucoup sont venus en groupe, ou du moins se connaissent, ce qui rend les interactions plus difficiles qu'on en a l'habitude. Nous voyons bien un jeune couple ou deux, timides, sur une banquette, regardant leurs pieds. Nous n'osons pas non plus les aborder, car la seule une approche directe est possible, et nous sommes encore trop timides pour faire ça.

On se décide alors à se changer en lingerie, puisqu'il est presque minuit et qu'une grande partie de la clientèle semble effectivement être passé en tenue plus dénudée. J'enfile mon corset, et Kees reste en boxer noir avec quelques fines rayures orange et rouge sur l'élastique (j'adore ce boxer). Mais en remontant, on remarque qu'il est impossible de danser pieds nue sur la piste à cause d'un carrelage froid, glissant et parfois même sale. Des chaussures de ville avec un boxer n'est pas une combinaison décemment possible. Malgré tout, nous remarquons que plusieurs hommes se la permettent (avec les chaussettes blanches qui dépassent !), sous mes yeux horrifiés (le pire que l'on verra sera des bottes allemandes noires, avec un boxer et une chemise à manche courte ouverte par dessus !!).

Nous restons donc dans le boudoir et près du bar un moment. Nous ne trouvons décidément personne à notre gout ou n'osons pas aborder les quelques couples qui nous plaise. Je suis assez déçue, peut être ne sommes nous pas assez dans l’humeur. Nous décidons d'aller directement à l'étage. Les coins câlins ne sont pas déserts, mais le plus gros de la clientèle semble être restée en bas. Les coins câlins qui semblaient les plus confortables sont pris, tant pis. Après quelques caresses dans les couloirs, c'est finalement la cage en verre que nous choisissons pour nos ébats à deux. Bien en vu dans cette pièce à l'intersection des trois couloirs principaux, nous prenons pour la première fois plaisir à nous exhiber au fur et a mesure que la température monte. Les vitres nous protègent de caresses non souhaitées, et la porte battante permet d'inviter facilement, si l'on le souhaite, une personne à nous rejoindre, bien que l'endroit ne puisse pas contenir raisonnablement plus que trois ou quatre personnes à la fois. Kees me menace de me laisser toute seule me toucher dans cette pièce, à la merci de n'importe qui souhaitant profiter de mon corps. Je frissonne de plaisir à cette idée, mais en regardant autour de moi,  je déchante un peu. La clientèle ne me plait désespérément pas. Aguicheuse, j'exhibe mon postérieur à la galerie tout en suçant Kees avec délectation qui me commente les réactions des passants en me demandant de me faire encore plus salope. J'obéis avec plaisir, avant de continuer nos câlins en un délicieux 69. Nous continuons ainsi un moment, quelques fois interrompus par des voyeurs  frappant aux vitres. Plusieurs couples sont arrêtés et nous observent, et je n'ai même pas honte, j'en suis ravie. Certains pourraient peut être nous plaire mais nous sommes finalement trop bien occupés tous les deux.

Plus tard, remis de nos émotions, et après un passage sous la douche, nous prenons un verre dans le boudoir avant de nous décider à visiter le coin Spa que nous avions loupés. Nous sommes un peu déçus par le jacuzzy qui doit pouvoir contenir 4-5 personnes maximum. Un écran plat au dessus diffuse en alternance des clips et des scènes X. Le coin Spa possède aussi un sauna où trois couples doivent pouvoir tenir, un hammam minuscule ou l'on est serré à 4 et un placard à glace où l'on est de trop à trois. Au fond de larges douches sont disponibles mais aucun savon, shampoing ou déodorant. Forcément, habitués à la qualité des installations du Fun, nous sommes un peu déçus et ne restons que le temps de tester chaque pièce quelques minutes. Cependant, il faut avouer que l'endroit est bien aménagé, beau, reposant et permet de varier les plaisirs durant la soirée.

La piste de danse n'étant hélas plus une option à moins de se rhabiller, nous repartons vers les coins câlins, espérant pouvoir y rencontrer des partenaires. A cette heure tardive, les coins câlins sont pleins à craquer, mais nous voyons peu d'échanges, ou en tout cas peu de configurations que l'on pourrait (avoir envie de) rejoindre. Alors que nous errons au dernier étage, tentant la pièce noire, un couple nous aborde de façon on ne peut plus directe "Est ce que vous cherchez un couple ?". Presque automatiquement, car un peu surpris, nous répondons par l'affirmative, sans vraiment se concerter. Le garçon est plutôt mignon. Un rapide coup d'oeil à Kees me rassure sur le doute que j'avais peut être pour sa femme. Après une courte discussion sur la difficulté à trouver des partenaires (il semble qu'il y ait beaucoup de clubbertins (c) Libertango ;-)) et un coin libre, nous nous installons rapidement tous les quatre sur un matelas dans un coin d'une grande pièce de passage au troisième étage. C'est assez rapidement que nous passons à l'échange, monsieur ne semble pas apprécier les préliminaires. Je chevauche le jeune homme, commençant doucement à enfin me lâcher un peu, je sens sa respiration rapide dans mon cou, et caresse Kees qui est bien occupé avec sa partenaire. Soudain, le jeune homme s'arrête, me regarde avec de grands yeux ennuyés, et s'exclame "J'ai beaucoup trop chaud, faut que je prenne l'air". Il se lève d'un seul coup, et me laisse ainsi sans autre explications. Surprise, je me joins aux câlins de Kees et la femme du jeune homme dans un agréable trio, attendant le retour de mon partenaire, que je ne retrouverais que plus tard sous la douche, sans plus d’explications que « il faut beaucoup trop chaud la haut ».

Nous discuterons encore un moment près de la piste de danse sans grand enthousiasme de notre part. Leurs intérêts étant assez éloignés des nôtres, nous n'étions pas vraiment très à l'aise ensemble et faire la traduction sans cesse m’épuise. Nous sommes un peu déçus, et surtout fatigués. Nous décidons d'aller nous changer pour rentrer. La route va être longue.

Conclusion

Notre impression est mitigée. Nous ne savons pas vraiment si cela vient d'espérances trop hautes, d'une critique trop dure, d'une clientèle pas à notre goût, de malchance ou peut-être même de notre comportement ou état d'esprit ce soir là. Le Privilège est définitivement un immense club, très beau, à l'accueil chaleureux et pourvu de nombreuses qualités, mais il manque d'une âme nous correspondant, au moins, dans sa population. Ce soir là est peut-être une exception, peut-être qu'il s'agit de mieux saisir les codes particuliers. Kees est plus positif que moi, il a bien apprécié les câlins avec la jeune femme, mais personnellement, je reste un peu sur ma faim. Un peu chauvins en quittant notre club favori, pour en découvrir un autre pour la première fois, nous restons avec l'idée que le Fun est décidément mieux. Cependant, nous décidons d'ors et déjà de revenir au Privilège donner une deuxième chance à ce club une autre fois.

Illustrations : www.le-privilege.be

10 commentaires:

M. Chapeau 5 février 2010 à 09:01  

Il y a tout de mêmes des installations étonnantes dans ce club ! La salle à cheminée de la première photo fait très salon de gentleman-farmer ... Déroutant. On se croierait dans un Marc Dorcel, avec un scénario du type "bourgeoise perverse" :) Je ne sais pas si j'arriverai à y être à l'aise, mais au moins, c'est original.

La cabine téléphonique est par contre tout à fait fantasmatique. C'est une chouette idée. (Dans le même genre, Mlle Amaranthe a vu une ... voiture ! dans un club du sud-ouest.) L'avez-vous vue utilisée ?

 Libertango et Lamyss 5 février 2010 à 15:50  

Belle visite guidée Melo. Si ce club était moins éloigné, on se laisserait tenter assurément. Mais il a l'air infesté de clubbertins :))

Ella 5 février 2010 à 20:08  

Merci pour ce compte rendu détaillé de ce club que je ne connaissais pas. Je ne sais pas à quel moment je serai partie: pendant la queue au buffet ou à la vue des premières chaussettes mocassins! :)
Je suis morte de rire rien que d'y penser.

Mais question, au fun, tout le monde danse pieds nus sur le carrelage?

Mel' Ody 8 février 2010 à 12:52  

@M.Hat : Oui, ce club est tout de même bien équipé et agréable, mais... en fait la clientèle ne suit pas, du moins, ce soir là, c'est dommage !

@Libertango : Après une deuxième visite il semble que ce ne soit pas toujours le cas, mais beaucoup de groupes d'habitués... Mais le Fun est encore plus loin ;-)

@Ella&Palaume : Honnêtement, on a vraiment pensé à partir à ce moment là (mocassins et chaussettes), mais comme le dit Laume, quand on a fait 2h de route, et qu'on a payé un prix d'entrée pas si petit que ça, on essaye quand même de profiter de la soirée ;-).

@Ella : Au Fun, une fois en lingerie, les hommes dansent pieds nus oui ou plus rarement, avec des chaussures de Spa/Sauna qui se ne se remarquent pas. Les femmes restent en talons, ça se porte très bien avec de la lingerie ;-). Ce n'est pas du carrelage mais du parquet/vinyle/tapis (ça dépend des endroits) et c'est très bien entretenu par le personnel qui est plus rapide que la lumière (généralement) pour nettoyer une chute de verre.

Missdactari 9 février 2010 à 13:42  

Je partage les avis précédents:
- la cabine de téléphone ( idée très originale à laquelle je n'aurai pas pensé )
- les chaussettes de sport blanches dans les chaussures habillées, je crois que c'est le pire que j'ai vu sur un homme en club ( le costume moche passe mieux, on se dit que c'est juste moche pour nous, mais beau selon lui, alors que les chaussettes de sport...)

Par contre pour le Fun : les hommes sont pieds nus à côté des femmes en talons ??? aie aie... j'aurai peur de marcher sur un pied...
C'est vrai que talons + lingerie çà peut être très coordonné, mais j'aurai plutôt tendance à imposer chaussures ( sans chaussettes ) ou pieds nus pour tout le monde.

M. Chapeau 9 février 2010 à 18:42  

On est censé marcher pieds nus à un endroits où les femmes portent des talons et où il y a un risque de verre brisé ??? wouaouh ! Ca fait peur !

Mel' Ody 9 février 2010 à 22:32  

On peut marcher pieds nus ou en "slipper". Mais comme je le disais, le sol est nickel car le personnel est très réactif. Ce qui n'est pas le cas du Privilège où danser pieds nus était impossible.

Jusqu'ici nous n'avons pas vu de meurtre de pied à coup de talons aiguilles ;-).

Vous me faites douter, et j'ai demandé à Kees qui confirme, ce n'est vraiment pas un souci (au Fun en tout cas).

Missdactari 10 février 2010 à 12:05  

C'est un concept à tester, çà va j'ai le meilleur rôle : les talons c'est moi qui les porte ;)

Anonyme 30 août 2010 à 00:40  

quand j entend parler de fun for love je me demande si ces personne ont du gout car le fun est un buibui ou les hotesses sont payer pour tou autre chose que servir des verres apres danser pied nue sur la piste ca releve de la betise moi j prend d tong
alors faites comm ns

Mel' Ody 1 septembre 2010 à 12:41  

Cher Anonyme, où entendez-vous donc parler du Fun for love ? Il me semble que c'est effectivement un club belge qui a été fermé pour prostitution.

Par contre, je parle régulièrement du Fun4Two, un club néerlandais qui lui vaut la peine de se déplacer.

Quand aux tongs ou aux pieds nus, c'est clair qu'au Privilège il vaut mieux mettre des tongs.

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