Etre libertins, c'est pas si facile !

Des expériences pareilles, ça ne laisse pas indifférent. Quand on est bavarde comme moi, en milieu étudiant parlant régulièrement de sexe, il est terriblement difficile de tenir sa langue.

S'il n'est absolument pas question que notre famille se mêle de notre sexualité, qu'en est-il des amis avec qui on partage tant de moments importants, de délires, qui nous conseillent, qui nous comprennent ? Que faire donc, quand on commence à leur cacher tout un pan important de notre personnalité ?

Nous avouerons au fil de nos expériences quelques détails à des amis proches. J'ai en particulier quelques confidents à qui j'apprécie confier ces histoires. En parler à mes copines par contre, est hors de question, ayant trop peur de leur jugement. Effectivement des discussions avec d'autres personnes nous feront aussi comprendre que libertinage n'est pas quelque chose dont on peut facilement parler, même aux Pays-bas. Mais ces soirées modifient plus que notre vision du couple, elles modifient aussi notre comportement.

Ainsi, nos aventures libertines se diversifiant, mon comportement en soirée normale devient aussi plus léger. Je m'essaye même à draguer quelques filles et à jouer l'allumeuse au sein même du bar de mon assoc' étudiante, ce qui ne se fait pas sans, parfois, subir quelques remarques peu respectueuses et des avances mal placées. C'est ainsi qu'un soir, un peu saoule, et mélancolique, que cette chanson de Cookie Dingler me fit tomber en sanglots dans les bras d'un ami confident. Encore merci Hervé pour ton soutien ce soir là...